Méga largage en préparation, … depuis longtemps.

Il est maintenant reçu que les meilleurs récits de science-fiction présagent de prochaines découvertes scientifiques, ensuite plus ou moins vite réalisées puis industrialisées, … plus ou moins vite ou non selon, … selon quoi en fait ?

Le second document diffusé samedi 29 sur la 5, « En quête d’une nouvelle terre », a fait le point de ce qui est, ici et maintenant, « diffusable » à nos populations, mais en préparation depuis des années.

Stephen Hawking avait proposé et validé les ¾ des avancées technologiques qui ont été présentées, pour que les humains puissent sous peu quitter notre Mère la Terre, se déplacer et aller terra-former et coloniser d’autres planètes considérées d’ici comme habitables, la première ciblée étant ProximaB, à deux ans d’années lumière (et non Mars comme on nous le serine et qui ne sert qu’à faire des expérimentations préalables). La Lune ne serra qu’une banlieue de lancement, et peut-être même pas.

En effet le principal problème posé à nos « élites » dirigeantes est la surpopulation et la surconsommation qui en résulte liés à la détérioration irréversible des conditions de vie sur notre planète. Ils le savent depuis bien avant la fin du XXème siècle, … ayant utilisé les conditions climatiques du Svalbard pour stocker en quantités toutes les espèces de graines permettant de redémarrer suite à une catastrophe majeure. 

Redémarrer, ou emporter sur ProximaB et continuer l’humanité après vérification de la capacité à terra-former.

Ainsi nous sommes devenus capables de propulser des fusées géantes au moins à 20 % de la vitesse de la lumière (et nous allons évidemment progresser dans les moteurs au plasma et ultérieurs), à extraire sur le sol des planètes ciblées le sable et le transformer en matériaux de construction hyper résistants, en oxygène, en hydrogène …, d’entretenir les capacités du corps humain à supporter l’apesanteur sur de longues périodes voire plusieurs générations si nécessaire, et répondre à tous les besoins identifiés pour « partir et y aller ». Visionner si possible le documentaire en replay, il en vaut l’effort ; au minimum instructif pour actualiser les connaissances.

Il est évident que ce voyage coûtera très cher, et ne sera abordable, outre les sujets d’élite qui seront sélectionnés pour les premiers, ensuite uniquement aux très riches. Or justement, depuis à peu près la même période où l’évidence du « déplacement » est débattue entre les « plus grands », les détenteurs des puissances financières ont accéléré l’exploitation des ressources, nous masse des « riens » compris, devenant « décomplexés ». 

Les critiques économiques évoquent l’avidité sans borne des grands capitalistes, mais ces derniers ont de « bons » conseillers, et pourquoi détruiraient-ils leurs garde-manger ? Ce peut être valable pour une partie, … mais il est désormais correct de poser l’hypothèse que les plus malins rassemblent les moyens financiers de partir en abandonnant la masse des « trop-nombreux ». On peut lire dans plusieurs ouvrages de science fiction des départs massifs, … mais je n’y crois pas, tout simplement du fait que les matériaux rares nécessaires sont insuffisants ici. 

Déjà nous sommes limite pour les composants de nos sacro-saints portables « intelligents », alors…. D’ailleurs, ces portables, ne vous rappellent-ils pas le « du pain et des jeux » de l’Empire romain en décadence, soit notre situation de civilisation déjà condamnée comme tant de travaux sérieux le hurlent depuis des années ?

Michel André Vallée- 30 décembre 2018

Quantique ET passage par le Verbe – les 7 et 12/02/2019 à l’aube

Le Verbe, au cœur et à l’origine de plusieurs mythologies et religions, est une des formes de matérialisation de l’Énergie Infinie telle que nous l’approchons avec le regard quantique.

C’était le 6 février dernier (2019) au terme d’une conférence centrée sur le mimétisme et les neurones miroirs donnée par Jean-Michel Oughourlian, dans le cadre d’un séminaire sur « Sciences de l’Imaginaire, Neurosciences et Physique Quantique, un dialogue » organisé de haute tenue par Joël Thomas et Mireille Courrent de novembre 2018 à novembre 2019 à l’Université de Perpignan. 

Pendant la conférence et les premiers commentaires, référence avait été faite entre autres passionnants apports à l’androgyne originel, la sagesse, le Verbe décrit dans plusieurs textes de « La naissance du monde » comme les appelait le regretté Claude Tresmontant.

Osons l’image que l’androgyne originel devait être (et est) immense, en fait bien au delà de immense car de la taille de l’ensemble de l’humanité. Ainsi que le Professeur Oughourlian l’avait avancé pendant la conférence, lors de la confrontation de Adam et Ève avec Dieu dans cette affaire du Serpent et de la Connaissance du bien et du mal, … nous y étions tous !

Tous ! …, je me réfère alors immédiatement aux travaux d’un Erwin Laszlo qui nous a proposé une connaissance par les chemins de la physique quantique du « champ akashique », connu de toutes les mythologies. Je me retrouve mieux, plus clairement avec mon âme de physicien par l’appellation d’Énergie Infinie ; réalité du Tout vibratoire aux infinis dont se déduit le corpusculaire, les corpusculaires, en fait donc intrinsèquement mélé au vibratoire, comme nous le savons depuis les travaux du XXème siècle dernier en physique quantique. LES corpusculaireS, car sont intriqués plusieurs univers, comme depuis Hawking de plus en plus tant d’astrophysiciens que de philosophes osent s’y aventurer, rejoignant ainsi les plus anciennes Écoles de Femmes et Hommes de Connaissance, ainsi que mes propositions dans l’essai « Élargir notre conscience au Multivert » (publié sur internet en 2013). 

Nous pouvons entrevoir alors que la physique quantique de l’infiniment petit, aux plans mini-micros, rejoigne le mini-micro du fonctionnement électrique (énergie) du cerveau tel que nous l’avait présenté le neuropsychiatre Pierre Huc à la conférence précédente : 100 MM de neurones avec 200 MM d’astrocytes en dynamique permanente. C’est une reconstruction de chaque instant de la totalité de notre système neuronal, témoin de la seule Réalité de chaque instant, lesquels se succédent à l’infini. La mémoire, elle, se trouve, et retrouve autant que de besoin, dans le vibratoire, à mes yeux d’aujourd’hui dans l’Énergie Infinie.

Aussi proposons que quantique est en lien, à ce niveau de correspondances, avec les neurones miroirs. Mais / Et il s’agit aussi des milliards des milliards d’individus, d’êtres. Ce serait une façon de considérer, avec cette découverte des neurones miroirs, que nous sommes en lien simultanément tant physique que psychique, et autres réalités. Ce qui, entre autres nombreuses conséquences en terme de « penser », devrait approfondir de plusieurs paliers la compréhension du psychosomatique.

Peut-être alors manquons nous d’humilité alors que le Tout (le Tao pour les asiatiques) est le tout des milliards de milliards dont nous ne sommes que l’un des éléments constitutif, unique certes mais insistons au sein de milliards de milliards (pour ne retenir qu’une image réduite aux limites des capacités de nos cerveaux pourtant si complexes mais non finis).

Alors, nous pouvons oser poser l’hypothèse que le Verbe de nos mythologies puis de nos Livres « sacrés » (faits psychosociologiques) est une des formes d’expression, en soi de création, une des formes de matérialisation, de l’ Énergie Infinie.

Voyons là, en liens et ponts transversaux interdisciplinaires, un des apports décliné de la physique quantique.

Je n’étonnerai pas celles et ceux qui me connaissent un peu, en voyant aussi là simultanément un autre lien clé de processus, soit une des façons de comprendre les phénomènes de synchronicité. Synchronicités telles que travaillées par Carl Gustav Jung (prophète du XXème siècle) en collaboration avec le physicien Wolfgang Pauli (Nobel en 1946) : lire « Correspondance 1932 -1958 » Albin Michel 2000. Avancée dans les connaissances révolutionnaire travaillée ensuite par Marie-Louise von Franz avec des Reeves, Cazenave, Solié, Pribam, Etter …

Ces continuités d’échanges contribuent à nos mutations de civilisations.

Michel André Vallée